Résumer le concept de science participative n’est pas une mince affaire, en témoigne le nombre d’expressions permettant de le décrire, on retrouvera notamment «engagement communautaire», «science citoyenne» ou encore «recherche participative» ou en anglais «citizen science», «collaborative science», «public engagement», «participatory research» ou encore «crowdsourcing», etc.
Si on tente tout de même de le résumer en une citation, j’utiliserai celle-ci :
« L’union fait la force »
L’idée de la science participative est d’utiliser la force d’un groupe pour obtenir plus de moyens. La force du groupe, c’est son nombre. Il n’est pas nécessaire que le groupe soit composé uniquement d’experts, bien au contraire, on retrouve dans la définition même des sciences participative le caractère non-scientifique des participants
Des individus non-scientifique qui font de la science ?
Oui, mais pas seulement. Dans un projet de science participative, il faut un garant qui assure que la démarche scientifique soit respectée.
Même si tous les domaines scientifiques sont concernés, les plus friands de science participative sont :
Les actions demandées aux membres du groupe peuvent être de différentes natures et peuvent nécessiter plus ou moins d’engagement. En voici quelques exemples par ordre croissant d’engagement.
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Diplomé des Mines de Saint-Etienne, Antoine a co-fondé la société atrioom en 2016. Il apporte une vision “ingénieur” au sein d'une équipe majoritairement constituée de designers. Cela permet d'avoir un mélange qui nourrit en même temps la créativité, l'efficacité et le business. Son approche est initialement plutôt scientifique et formelle, mais il se laisse de plus en plus happer par les sciences humaines et expérimentales.
Diplomé des Mines de Saint-Etienne, Antoine a co-fondé la société atrioom en 2016. Il apporte une vision “ingénieur” au sein d'une équipe majoritairement constituée de designers. Cela permet d'avoir un mélange qui nourrit en même temps la créativité, l'efficacité et le business. Son approche est initialement plutôt scientifique et formelle, mais il se laisse de plus en plus happer par les sciences humaines et expérimentales.
Diplomé des Mines de Saint-Etienne, Antoine a co-fondé la société atrioom en 2016. Il apporte une vision “ingénieur” au sein d'une équipe majoritairement constituée de designers. Cela permet d'avoir un mélange qui nourrit en même temps la créativité, l'efficacité et le business. Son approche est initialement plutôt scientifique et formelle, mais il se laisse de plus en plus happer par les sciences humaines et expérimentales.
Diplomé des Mines de Saint-Etienne, Antoine a co-fondé la société atrioom en 2016. Il apporte une vision “ingénieur” au sein d'une équipe majoritairement constituée de designers. Cela permet d'avoir un mélange qui nourrit en même temps la créativité, l'efficacité et le business. Son approche est initialement plutôt scientifique et formelle, mais il se laisse de plus en plus happer par les sciences humaines et expérimentales.